lundi 30 septembre 2013

Estancia Aguila Blanca

Jours 93, 94 et 95

Week end du 94 et 95ème.

Dès le vendredi soir nous avons embarqué à bord d'un minibus très classe direction Minas. Nous avons passé tout le week end dans une estancia (sorte de grande ferme touristique ici je vous le rappelle) située à 3h de Montevideo. Arrivés là-bas tous les 11 (nous étions plus nombreux que lors de nos voyages habituels) succession de plats, repas divins, on s'extasie sur le côté mignon du lieu, la literie en fleurs et le feu de cheminée dans les chambres. Malgré un temps incertain et quelques gouttes de pluie nous n'avons pas chômé: balades à cheval, tours de Jeep, découverte des animaux de l'estancia, canoë, barque et pêche sur le lac... La liste des activités fut longue et les repas consistants.

La statistique 1 uruguayen pour 3 vaches prend tout son sens ici. Des centaines de vaches, veaux, taureaux, des centaines de moutons, petits agneaux trop mignons qui courraient à côté de nos chevaux... Magique, Génial, Incroyable. Malgré les bons conseils du gaucho de l'estancia (les gauchos sont les fermiers d'ici, ils portent la baina sorte de béret local) la grande majorité d'entre nous a eu mal aux fesses le moitié du week end. Petite particularité quand on monte à cheval en Uruguay c'est avec une seule main qu'on tient les rennes !
Nous avons quand même pu voir des vaches qui venaient de mettre bas (elles attendent ensuite que leur palcenta tombe tout seul et le mangent après, beurk ultime) et des mulitas, petits animaux qui ressemblent à des fourmiliers de la préhistoire.

Le prix était raisonnable par rapport à la qualité de l'accueil et des services proposés (jem'entrainepourlepetitpaumé). N'hésitez plus, ruez vous à l'estancia Aguila blanca !

Notre chambre


Cuisine


Les cavaliers


























Vendredi 93

En ce moment notre fondation a  organisé un spectacle pour enfants Pedro y el lobo (Pierre et le loup vous l'aurez compris). Des centaines d'élèves du premier cycle se précipitaient à l'Auditorium du Sodre pour voir ce conte musical qui a l'avantage de présenter les différents instruments d'un orchestre symphonique. C'était chouette j'ai évidemment pris quelques photos et assisté au spectacle qui était très réussi. C'était un des grands projets sur lesquels nous avions travaillé avec Yoann jusqu'à ce que la fondation trouve un partenariat avec l'Etat qui s'est donc occupé de toute la partie financement et recherche de sponsors. Pas cool, ils nous ont volé notre job. Enfin c'était très réussi.





jeudi 26 septembre 2013

Carnet de vol

Jours 90, 91 et 92

Que de projets en tête. Nous essayons désespérément de planifier nos derniers week-end en Am du sud afin de profiter au mieux du temps qui nous est imparti. Du coup la plupart de nos fin de semana vont être chargées. Nous allons partir ce week-end dans une estancia, grande ferme avec plein d'activités proposées type faire du canasson, canoe kawak ou encore danse indienne sous la pluie. Nous partons avec une fine équipe de 10 vainqueurs, on vous en dira des nouvelles.

Sinon nous avons fêté le retour de notre Michèle nationale dans la joie et la bonne humeur. Nous avons été por primera vez au cinéma ici voir un film... français sous titré espagnol oui c'est honteux. Le prix est sensiblement le même qu'en France (150 à 190 pesos, divisé par 28,50 je vous laisse faire le calcul, j'aime pas le calcul mental). Il faut tout de même savoir qu'un film français sort ici 2 ans après sa parution en cinéma français.
Et bien sur hier nous avons enfin testé le Fun fun un bar très renommé ici puisqu'il propose de la uvita (liqueur de vin très sucrée) et des shows de tango assez incroyables !Nous avons apprécié les lancers de jambe de la danseuse et le côté coincé beau gosse du danseur. Un 10 pour Jean Marc Généreux, un triple 10 pour nous.

Au travail. Ah le travail. Toujours en attente d'internet (oui oui ça fait plus d'un mois), coincés dans les nouveaux locaux où il n'y a personne et où nous bossons sur différentes choses. Je m’attelle à préparer un rapport de passation pour les futurs stagiaires et nous avons envisagé plusieurs nouveaux projets comme un livre retraçant l'histoire de la fondation ou encore la création d'almanach pour remercier les partenaires et les familles des jeunes musiciens.

A ciao bonsoir !


N.B : ici on ne peut pas jeter le papier toilette usagé dans la cuvette. Oui oui il se dépose dans la poubelle à côté. Autant vous dire qu'on préfère qu'ils les changent régulièrement ...BEURK



Oiseau local de Cabo Polonio





lundi 23 septembre 2013

Cabo Polonio

Una semana despues

Toutes mes excuses pour cet arrêt momentané des publications. Non non je ne suis pas en grève mais seulement au travail et en voyage. Je m'explique. La semaine dernière nous avons beaucoup travaillé avec notre nouvelle maître de stage. Stratégie réseaux sociaux, entreprises, design, tout y passe. Après une semaine de "fuerte trabajo" puisque nous n'avons plus internet au boulot, nous avons décidé d'aller nous ressourcer à Cabo Polonio, petit village hippie de a côte est uruguayenne. Il est connu et reconnu pour son calme légendaire et son mode de vie particulier : pas d'eau courante ni d'électricité. Un mode de vie très sain basé sur la nature : les habitants surfent, vont à la plage, louent des chambres pour les touristes, vendent des gâteaux des empanadas et des bijoux mais rien de plus. 2 petites supérettes dans tout le village qui ne vendent ni viande ni légumes (ou très peu). Les gens vivent de poissons et de féculents. Une explication : pour accéder à Cabo Polonio il faut prendre un camion qui traverse 7km de dunes  et entre dans l'aire protégée de ce cap. Quasiment impossible d'y aller en voiture.

Le premier jour nous avons eu droit à la pluie et aux bonnes bourrasques de vent si fidèles aux littoraux mais ça ne nous a pas découragé et les jours suivants ont été cléments. On a bien profité des milliers de loups de mer qui vivent au Cabo Polonio, de la plage et des hautes dunes sans oublier de visiter le phare qui donne une vue incroyable. Un endroit que je conseille et à refaire ! Voyez par vous même, les photos témoignent du bonheur qui y règne !

Le camion pour se rendre à Cabo Polonio




Couché de soleil du premier soir


Notre hostel

La plage

Les enfants Yoann et Simon qui courent sur la plage


Maison typique




Dunes de Cabo Polonio











Faro de Cabo Polonio


Un bébé loup de mer que j'ai pu approcher





lundi 16 septembre 2013

Hurricane

Jours 79, 80, 81 et 82

A part un nice vendredi on a eut que du tout pourri. Ce vendredi nous avons assisté à un séminaire sur la RSE (Responsabilidad Social Empresarial) fort intéressant et nourrissant (oui il y avait un open croissant). On a appris pas mal de choses sur la RSE et notamment les différences d'avancées en termes de RSE entre l'Europe et l'Amérique du Sud. Plusieurs entreprises étaient présentes et leurs respo RSE parlait de chacune des actions de RSE de son entreprise. Entre temps j'ai eu le temps de discuter avec notre nouvelle maître de stage qui me renseigne sur les trucs et coutumes de l'Uruguay. Le mariage, pareil qu'en France. L'enterrement, pareil qu'en France. Pas très dépaysant de ce côté là. Par contre elle m'a quand même dit que chaque enfant inscrit à l'école primaire à partir de ses 6 ans reçoit un ordinateur dans un souci d'égalité des chances et d'accès à la technologie et au web. Stylé.
Le soir Yohann se produisait avec la Orquesta Juvenil del Sodre on a donc été le voir et prendre quelques clichés. Après une 35ème de Mozart et une partie de la Flûte enchantée, petite soirée d'anniversaire du coloc gay de Maeva avec open bagues fluos, manteaux en fourrure et perruques blondes. Mine de rien on a vraiment beaucoup rit.
Depuis. Trou noir. Tempête. Vent violant, impossible de sortir sans s'envoler ou prendre une bonne douche. Du coup à part la sortie course plus que nécessaire nous avons hiberné à la maison à notre plus grand regret. C'est horrible d'être enfermé sans pouvoir sortir. J'ai été bossé le lundi mais on m'a dit de partir avant 16h30 à cause de l'alerte météo. Vivement le calme. Après la tempête.

On aime ça la pluie !

jeudi 12 septembre 2013

Lindos dias

Jours 75, 76, 77 et évidemment 78.

75 et 76. Je plage, tu sues, il se baigne. Je vous fais le tableau : 36° à l'ombre, un Rio de la plata plus qu'accueillant, on sort les maillots de bain et on oublie la crème solaire. Fatal error. A ce qu'il paraît l'Uruguay est juste en dessous du trou dans la couche d'ozone. Sans blague. On s'en est quand même bien sortis avec juste du bronzage incroyable et un crédit chez Salus, marque d'eau nationale. Nos collègues sont compréhensifs, ils nous laissent en profiter. En même temps on passe vraiment pour des touristes avec ce temps. Pour vous 36° c'est la canicule, pour eux, c'est une chaude journée d'hiver. Facilement remarquables les frenchies en short tee-shirt héhé à côté des uruguayens en écharpe et bottes. Le soirées furent agréables et assoiffés vous pensez bien qu'on ne l'est pas resté. Le mardi soir, les garçons sont allés voir Uruguay Colombie, match de qualif pour la coupe du monde 2014. Ambiance de taré, excitation à son comble, enthousiasme infatigable. Lors des 2 buts pour l'Uruguay, on entend tout le pays qui gueule, Vamos Uruguay et le lendemain au boulot évidemment la première question qu'on vous pose c'est pas si vous allez bien ni même bonjour mais "Est-ce que t'as vu le match?". J'ai même pas essayé de répondre non. Je vous laisse juger par vous même l'ambiance dans le stade.

Uruguay 2- 0 Colombie



Les deux jours suivants furent également chauds, on finit par se réfugier au boulot. On commence à beaucoup travailler dans les nouveaux locaux même s'il n'y a pas encore internet. Notre nouvelle maître de stage est tellement incroyable ! Elle nous en apprend pas mal sur le pays (d'ailleurs j'allais pas tarder à vous faire un topo sur ce que j'ai appris dernièrement)et aussi sur son parcours professionnel assez impressionnant. En ce moment, Yoann bosse plus sur un guide de préparation aux entretiens pour nos patrons qui n'ont pas forcément eut cette formation pendant que je me concentre sur la stratégie de com externe et interne via facebook. Un nouveau projet a également été lancé : je suis en charge de sélectionner les meilleures photos depuis la création de la fondation (1996) pour en faire un livre d'or.
Pendant ce temps là, Simon s'occupe et profite du temps avant que ça se gâte: tempête annoncée pour ce soir. Une fois encore nous sommes bloqués sur Montevideo ce week end à cause du mauvais temps mais promis le week end prochain on bouge et je vous raconte tout plein de choses !

Petites photos de Mtv datant du bus turistico de vendredi dernier.


Avenida 18 de julio



Pas loin du palacio legislativo





Voiture locale






Playa Ramirez



Nos nouveaux copains de plage





lundi 9 septembre 2013

Flic flac floc

Jours 73 et 74
C'est ce qu'on peut appeler un week-end de merde. Cloîtrés dans nos chambres parce qu'il y avait orage et pluies torrentielles. On en profite avec un skype par ci, un film par là, une ou deux saisons de séries américaines... juste au secours ! Heureusement la pluie s'est calmée le samedi soir on en a profité pour faire une petite soirée electro à la Phonothèque, unique boîte d'electro de TOUT l'Uruguay.
Dimanche était moins pluvieux, plus ensoleillé. Du coup, balade dominicale oblige avec Simon on a été faire un tour côté ramblas histoire de se dégourdir les jambes.



Jours 71 et 72

L'avantage de notre stage c'est qu'on a pas mal de trucs gratos type concerts, événements, conférences et bus touristique. C'est donc 390 pesos qui furent épargnés. 2h30 de bus, du port en passant par Plaza Independencia, Ciudad Vieja, 18 de julio, Parque Prado, Tres Cruces, Pocitos et la Rambla. Solide. On a rapidement eut des fourmis dans les fesses mais on a certainement trouvé un nouveau boulot : refaire les voix françaises qui sont juste horribles. En tous cas ça nous a bien confirmé qu'on avait vu tout ce qu'il y avait à voir à Montevideo et qu'on devait bouger le week end.
Sinon, on continue les projets en cours avec la Fondation dans la joie et la bonne humeur.

(Photos à venir)

jeudi 5 septembre 2013

Faits d'hiver

Jour 68, 69 et 70

Puisque notre lundi et notre mardi furent anodins je vais vous parler de faits quotidiens.

Redbrou : ce nom peu commun est en fait le nom de magasins où les uruguayens vont payer leurs factures. On y voit à longueur de journée les gens faire la queue pour aller payer eau, électricité et autres factures. Le RIB ça doit pas bien marcher ici.

Les chouchous dans la rue : sympa mais dégueu. Tous les 20m on trouve dans les rues de Mtv des vendeurs de chouchous (comme sur la plage). Le problème c'est qu'ils ne lavent jamais les casseroles où ils les font cuire et qu'ils les vendent dans du papier journal. Ah oui et aussi, ce sont des quasi clochards qui tiennent ces petites charrettes, niveau hygiène on repassera.

Des prix encore des prix : quelques exemples de prix qui vous donneront une idée de ce que vaut la vie en Uruguay.
1kg de pates : 70 pesos (= 2,50€)
1kg de tomates : 65 à 70 pesos (=2,50€)
une baguette de pain : environ 45 pesos (=1,65€)
un pot de moutarde : de 150 à 200 pesos pour la maille (7,30€)
nutella : y'en a pas

Les taux de change : actuellement on échange 1€ contre environ 28,5 pesos ce qui est bien plus avantageux qu'à notre arrivée où on échangeait 1€ contre 25 pesos. Le change inverse par contre est beaucoup moins intéressant (pesos contre euros).


Palacio Legislativo de Montevideo




Mercredi
Une journée VACHEment bien. Après le travail, Simon et moi sommes partis au pseudo salon de l'agriculture uruguayen. Au programme ovins, bovins et chevaux, tracteurs, gauchos et dégustations de saucissons. Les gauchos sont bien sûr les éleveurs/fermiers locaux loco (ahah petite blague) vêtus de leur boina (béret). Le salon était cool, plein d'espaces, bien entretenu et les stands modernes. A noter tout de même : le recrutement des hôtesses est le même qu'en France... au physique ! Alors en clair on s'est promenés, on a mangé des churros rellenos (ici les churros sont pleins de dulce de leche à l'intérieur), on a caressé des bébés moutons et des bébés vaches. La féria compte tout de même un bon nombre de restaurants et se trouve dans un des quartiers les plus chics de Montevideo qu'on ne connaissait pas : le Prado.Il est situé au dessus du palais législatif, que nous avons été voir pour la première fois, et accueille les habitants les plus fortunés (il y a pas mal de villas).





En tous cas, cette feria est assez importante en termes de taille et d'attractivité ce qui montre bien l'importance de l'agriculture dans ce pays. Je l'ai déjà dis mais l'Uruguay est un pays de viande et de laine. C'est à peu près l'essentiel de leur production : le cuir, les pulls en laine et les parillas.















lundi 2 septembre 2013

Cabletone y Salto

Jours 66 et 67

6H de bus plus tard, nous voilà à Salto pour un week-end ensoleillé. Le trajet fût long et le sommeil peu profond mais l'excitation est à son comble dès les 6h du matin.
Nous ne pouvons malheureusement pas accéder à l'hotel avant 9h30. On en profite pour prendre un gros petit dej avec nos acolytes et visiter un peu le centre de Salto. La ville est vraiment toute petite mais le centre est charmant. Pourtant vraiment petit. Mais bon, nous ne sommes clairement pas là pour visiter le centre ville et les 25° présents dès 9h30 donnent envie de plonger dans les thermes de Salto. Ces thermes ont été découverts lors de recherches pétrolières : ancap, la compagnie nationale uruguayenne y a fait de nombreux forages pour découvrir non pas du pétrole mais de l'eau thermale. Après avoir pris un autre bus, nous arrivons aux Termas de Daymann, un mini village qui s'est développé sur les thermes à base d'hôtels, de restaurants et de magasins de souvenirs. Les thermes possèdent des eaux de 30 à 50° (c'est vraiment très très chaud), hammam, massages, piscines, jets massant, sauna... En gros voilà plus ou moins le résumé de notre journée. L'avantage c'est que ces eaux ont plein de vertus pour la peau et qu'il faisait vraiment très beau (30°). Les thermes restent ouverts jusqu'à 23H le soir ce qui est encore plus agréable lorsque le soleil est tombé. Autant vous dire que nous n'avons pas traîné le soir, nous étions tout simplement lessivés.

Le dimanche nous avions prévu de passer la journée dans un parque acuatico à Salto Grande. Le parc était bien plus petit que certains parcs aquatiques français mais il en valait la peine. L'eau thermale était toujours aussi agréable et la chaleur dominante. Quelques coups de soleil sont venus assombrir ce week-end mais ça nous fait au moins un souvenir. Nous sommes ravis de ce week-end et encourageons les visiteurs à passer "disfrutar de Salto".


A l'hotel



Dans les thermes














Jours 64 (fin) et 65

Mon dernier article a été clôturé un peu trop tôt. Le jeudi après-midi, la fondation organisait le concert du Cabletone, nouvel "instrument" de musique créé par un uruguayen Juan Manuel Ruétalo. Cet instrument est en fait un ensemble de câbles auxquels des individus sont reliés et en se touchant ils créent des sons assez incontrôlables. C'est génial mais très dur à manier surtout quand il faut faire concorder ces sons avec tout un orchestre. Mais comme toujours la fondation a relevé le défi et a réussi.

C'est d'ailleurs une de leur force, ils prennent des risques, attendent la dernière minute... et s'en sortent victorieux. Ils sont incroyables et c'est aussi pour ça que c'est génial de travailler avec eux. Le rythme est tellement différent que le rythme de travail français mais on arrive aux mêmes résultats. On se rend bien compte que nous avons été éduqués selon le modèle descartien (thèse antithèse synthèse mais vraiment foutaises) et que nous sommes perdus dès que tout n'est pas cadré et planifié. Pour exemple, la fondation s'est mise à organiser une tournée aux Etats-Unis et Panama seulement 3 mois jours pour jours avant le départ des 70 musiciens. La tournée fut une réussite.

Bref, pour en revenir au concert, j'étais une fois de plus chargée des photographies et de la présentation prezi de la conférence. Le concert a beaucoup plu à tous les jeunes présents : il était en visioconférence avec de nombreux lycées de l'intérieur du pays et beaucoup de jeunes lycéens avaient été invités pour découvrir le but de la fondation et le travail qu'elle accomplit dans les zones les plus défavorisées.


Le vendredi, la chaleur était au rendez-vous et notre départ proche pour Salto nous faisait saliver. L'ambiance au travail est très bonne, tous sont de bonne humeur et prêts à partir en week-end. C'est à minuit que nous avons pris le bus pour Salto, ville au Nord- Ouest de l'Uruguay.






El cabletone