¡Hola todos! Arrivés au bureau à 11h30, on bosse bien, dossie de patrocinio en espagnol para mi y Yoann debe traducir el sitio web de la fundacion en frances.
On ne s'ennuie pas, l'heure tourne et il est déjà 16h, vite vite, un nouvel article sur le blog.
La journée a été studieuse pour une fois, nous avons eu une réunion avec Claudia, la Directora Academica de la Fundacion et elle nous a éclairés sur ce que nous devions faire. Mais avant tout, organisons-nous. La prochaine réunion est fixée au lendemain à 15h.
Montevideo |
Yoann et moi en avons profité pour demander à ce qu'ils nous emmènent dans les nucleos pour voir plus concrètement ce qui s'y passe et prendre des photos. Les Nucleos sont les centres de formation pour les enfants en exclusion sociale. Ils y apprennent la pratique d'un instrument d'orchestre, piano, alto, violon, contrebasse... Nous avons hâte de nous rendre sur les lieux. Le bureau est très vide aujourd'hui, les patrons ne sont pas beaucoup là, il n'y a quasiment que Bruno et nous, au lieu des 15 personnes qui vivent habituellement ici. Nous étudions plusieurs projets de patrocinio présents au Brésil et dans l'Amérique du sud (projet Guri) pour nous inspirer de leur politique de partenariats et de financement.
Tout le monde est si gentil avec nous c'est incroyable. En Uruguay impossible de savoir s'ils sont bien ou mal lunés car le sourire est toujours présent sur leurs visages. Un accueil très chaleureux nous attend chaque matin. Nos collègues uruguayens sont toujours tout sourire, prêt à rendre service et agréables. Mais aussi désorganisés, tête en l'air et bruyants. Personne n'est parfait.
El Ombu, arbre repère à Mtv, juste à côté de Casamarilla |
Pour la première depuis notre arrivée le temps est moche. Il ne fait pas froid mais la pluie tombe fort et le ciel est gris. J'ai oublié de vous parler des poubelles et autres encombrants. Chose assez typique ici, les poubelles sont ramassées par des calèches. Un homme et son cheval ramassent ainsi les ordures ménagères de la ville. Cette particularité intrigue au premier abord mais on se rend vite compte que c'est un moyen très sale de procéder. Les chevaux sont mal entretenus et la plupart des conducteurs de "calèche-poubelle" sont des mendiants qui sillonnent la ville sans prêter attention à ce qui pourrait tomber de la calèche. En clair, typique mais dégueulasse.
Les calèches-poubelles |
En rentrant du travail, nous retrouvons Simon et les French guys (Louis, Audrey et Matthieu) ainsi que les autres habitants de la maison. Simon en a profité pour faire des ping-pong et créer du lien social franco-français à Casamarilla car le temps ne permettait pas de visiter la ciudad.
Encore une fois, nous nous étonnons des prix en allant faire quelques courses. Tout est hors de prix à part la viande de bœuf mais même les pâtes sont chères. La salade reste abordable mais tous les autres produits sont bien plus chers qu'en France. Nous tentons tant bien que mal d'acheter des produits différents mais cela reste difficile si on ne veut pas gâcher tous nos pesos.
N.B : un besito para todos
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